“Oui oui, elle sait ce que c’est un qu’un multipath”..bref, vous aussi, vous venez de vous faire votre serveur iSCSI flamboyant et vous vous dites que ce serait bien d’avoir plusieurs chemins pour accéder à votre serveur.
Évidemment, pourquoi les baies de disques FC feraient ça et pas nous ? Allez hop, tous les chemins mènent à Rome non ? Alors c’est parti pour une doc sur le multipathing.
Vous n’avez pas les sous pour vous acheter une baie de disques FC et vous voulez jouer tout comme si c’était le cas ? La solution du pauvre est là ! iSCSI, j’te l’dis mon pti gars !
Voilà une documentation pour mettre un serveur iSCSI et s’y connecter avec des clients.
Vous avez toujours entendu que Linux c’était génial, qu’on pouvait faire tout ce que l’on voulait dessus, tout changer, tout mdifier…et là peut être qu’en réfléchissant un peu, vous vous dites : “C’est vrai ! On peut tout modifier…mais peut être pas ce qu’il y a dans /dev ?!”.
Et bien si et on peut en faire des choses dans ce /dev ! Je vous ai donc concocté une petite documentation sur ce merveilleux udev qui vous permettra de lancer des scripts au branchement d’un périphérique, de modifier le nom d’un device qui apparait dans /dev, de renomer /dev en /mes_periph_de_batard et moulte modifications de la muerta !
Si vous avez des problèmes de temps d’accès et de débit sur votre espace disque temporaire pour MySQL, alors cet article est fait pour vous.
La solution consiste donc à utiliser le filesystem tmpfs et rediriger ses fichiers temporaires dessus.
J’ai donc créer et mis à jour mes documentations. Vous aurez donc besoin de :
Tmpfs sous Solaris Tmpfs sous Linux MySQL : augmenter les perfs pour les fichiers temporaires
Ahhhh les proxy au taf ou à l’école !!! C’est pénible ! Bref, il arrive parfois que l’on souhaites vraiment avoir accès temporairement à l’extérieur. Quelles que soient les commandes que vous utilisez vous aurez ou non la possibilité de configurer l’utilisation d’un proxy en modifiant un fichier de configuration, une variable de d’environnement etc…
L’intérêt de proxychains est que la configuration ne se fait qu’une seule fois, dans son propre fichier de configuration.
J’ai un collègue qui s’est retrouvé dans une situation assez délicate. Je vous explique la situation :
2 points de montages dans /mnt dont un imbriqué dans l’autre. 1 partage sur le principale Lorsque le point de montage principale est full, ont ne peut plus rien copier, même si la 2ème imbrication a encore de l’espace de libre. Pour ceux qui n’ont toujours pas compris :
/mnt/ : 30 Mb restant /mnt/disk1 : 10Gb restant share : /mnt/ Le share me dit qu’il ne peut pas copier plus de 30 Mb, même dans /share/disk1.
Je ne me suis pas mis au LaTeX pour rien, j’avais pour idée de pondre une Cheat Sheet sur Tmux, vu que je n’en avais trouvé aucune sur le net.
J’ai donc mis à jour la documentation Tmux avec les Cheat Sheet en anglais et français.
Je les fournis également ici :
Tmux French Cheat Sheet
Tmux English Cheat Sheet
N’hésitez pas à me faire un retour ou des propositions sur d’éventuels ajouts.
