Chose promise, voici mes docs pour vous aider si vous aussi vous voulez tatouiller KVM et Lighttpd :
Documentation KVM
Documentation Lighttpd
Pour ce qui est de Lighttpd, je rajouterais au fur et à mesure mes ajouts. Mais qu’est-ce que c’est kiffant putain ! La conf à la perl, les correspondances, les regex, la simplicité ouaaa trop bien !
Bon… allez, je vais vous expliquer déjà pourquoi j’ai refais mon serveur.
Dans mes précédents posts datant du mois de décembre, vous avez pu lire que j’étais passé de mon serveur Debian 32 bits etch (stable de l’époque) vers Solaris et adoptant la virtualisation avec VirtualBox le temps de patienter pour xVM Server.
Aujourd’hui, xVM Server n’est toujours pas sorti, VirtualBox n’est vraiment, vraiment pas fait pour de la pseudo prod (donc imaginez la prod), contrairement à ce qui est dit sur le site officiel de Sun.
Bon, j’arrête pas de lire et d’entendre : “Pourquoi t’utilises pas Ubuntu ? C’est Debian mais avec des paquets à jour !”
Alors pour pas mourrir con, j’me suis dis allez, pourquoi ne pas tenter l’aventure (c’est l’heure de Koh-Lanta c’est pour ça que cette expression me vient) et je l’ai (comme décrit dans un précédent post) installé en VM sur mon serveur et c’est là dessus que tourne actuellement mon serveur de mails ainsi que le serveur web.
Et bien me voilà de retour. Bon tout est loin d’être terminé, mais je sais où je vais maintenant. Voici donc ce qui a été fait :
Le serveur tourne maintenant sous Solaris en ZFS sur le disque primaire
Sur les 4 autres disques de 1To, il y a un Raidz (ça trace sa maman)
OpenBSD sous VirtualBox comme frontal a été abandonné. Pourquoi ?
Je peux enfin pinger et accéder aux noms DNS FQDN à mon taf sous Ubuntu. Un collègue a eu la patience de chercher pourquoi et surtout comment résoudre le problème. Allez, le petit lien qui va bien :
http://wiki.deimos.fr/R%C3%A9solution_noms_DNS_FQDN_en_local#R.C3.A9solution
Dans un environnement de prod, il peut être utilise de savoir ce que chaque personnes fait. Notament quand une boulette arrive et que personne ne se dénonce (hé oui, ça arrive). Les petits hackers en herbes (alias kéké) qui se disent hacker parcqu’ils ont foutu un keyloger sur une machine, ça peut les intéresser aussi. Parcontre, le but n’est évidement pas le même.
J’ai donc fait une petite documentation :